15 de Av 5784

// JavaScript Code
Copyright © 2019 A Ner Yoh |. Theme images by kelvinjay. Powered by Blogger.

Featured Post

PARACHA VAYECHEV

KONTENI PARASHAH A VAYECHEV 1) Yaacov te rete nan Hevron, vil Abraram te achte nan peyi Izrayèl la. 2) Li voye Jozèf, pitit gason li pi renm...

Popular Posts

Total Pageviews

Powered By Blogger

Search This Blog



SEARCH THIS BLOG

My Blog List

Blogger news

KASHROUT

KABALAH

TAHARA - PURETÉ - PUREZA

La Posture de L'Erudit


Chapitre 5, Loi 8 - Marcher sur les pas
L'imprission

Preparé PAr Aba-Eybo
aRTICLE SUR LES LOIS
Selon Le Ramabám 
Loi 8 - Capítre 5

DEDICADA A LA MEMORIA Y PARA MÉRITO DE:
Rabbí Moshe Ben Maimón
Sara - (כריסטינה מרים דה בלר),
Jeannette Agustin San Juan, Fortune Agustin,
Filomena Agustin de San Juan, Federmo San Juan, Mevoyan Aba Beler,
Claudio Alfredo Beler San Juan; (סוג'ונטו בן סופריו) ; ( אבא סופריו)
(כל הזקנים בדורותיהם, מצד אבי, ובצד אמי);
Y de tous les Anousim de la Maison d' Israel; Jean-Baptiste Alvares
ז'אן בטיסט אלבארס , רבי שלמה לוריא, מהרש״ל
Jean Baptiste Louis Agustin Rodrigué Alvares, Rav DovBer de Lubavitch
אורינו ז'אן בטיסט אלבארס;
Eli Ha’Kohen, Pinjás Ve’Ikavod Ha’Kohen. Abayé Ha’Kohen, El Rebbe de Lubavitch,
Menajem Mendel Shneerson Zt”L; Yehuda Ha’Chassid, 
e Israel Meir KaGan el Jafets Ha’Jaim.

Pour La Refouah Shelema de:
María Bat Esmeralda

LA POSTURA DEL ERUDITO

L'érudit de la Torah ne doit pas marcher avec une stature droite et la tête haute (litt., « gorge poussée ») car il est dit « [… car les filles de Sion sont hautaines] et elles marchent la gorge tendue et regardent (ou clignent de l'œil) » yeux" (Esaïe 3:16). Il ne devrait pas marcher [à petits pas délicats, en plaçant son] talon à côté du gros orteil [de son autre pied], avec désinvolture, comme le font les femmes et les arrogants, comme il est dit : « ... en marchant et en flottant, ils vont, et avec leurs jambes ils séduisent » (ibid., fin du verset).

[L'érudit de la Torah] ne devrait pas se présenter en public et agir de façon folle.

Il ne doit pas non plus fléchir sa stature [de façon exagérée] en bossu. Au contraire, il devrait regarder vers le bas [légèrement] comme quelqu'un debout en prière. Et il devrait marcher d'un pas égal comme quelqu'un qui s'occupe de ses affaires.

Même à partir de la démarche d'une personne, on peut discerner s'il s'agit d'un érudit possédant de la sagesse ou d'un fou et d'un imbécile. De même Salomon a dit dans sa sagesse : « Même en chemin, comme l'insensé marche, son cœur manque et il proclame à tous qu'il est un insensé » (Koheles (Ecclésiaste) 10:3). Il informe tous sur lui-même qu'il est un imbécile.

Cette semaine, le Rambam poursuit le thème de ce chapitre, en discutant du comportement approprié pour l'érudit de la Torah. Il évoque ici la démarche du savant, et plus généralement son langage corporel.

Il est intéressant de noter la quantité d'informations que les gens transmettent à travers le langage corporel - combien cela en dit sur eux-mêmes et sur leur attitude envers ceux avec qui ils ont affaire. Le Rambam prend également le langage corporel très au sérieux, consacrant une loi de son travail au sujet. Il prend même la peine de citer le roi Salomon comme support biblique de ce phénomène. La façon dont on se comporte fait une grande différence. Le véritable érudit ne doit pas seulement améliorer son esprit et son caractère ; il doit parfaire sa foulée.

Je crois que nous voyons aussi une nette progression dans les écrits du Rambam. Plus tôt dans le chapitre, le Rambam a discuté du comportement approprié pour le sage, dans la Loi 7, il a discuté du discours du savant, et ici il passe au langage corporel du savant. (La prochaine loi commencera à discuter de questions plus périphériques au savant lui-même, en commençant par sa tenue vestimentaire.) Nous progressons donc clairement des aspects moins internes de la composition du savant.

Le Rambam a commencé par décrire le comportement des sages. C'est bien sûr l'aspect le plus visible et le plus saillant de la composition du savant, mais c'est aussi le plus facile à falsifier. Il n'est pas si difficile de mépriser fondamentalement les ignorants, mais de se forcer à agir cordialement en leur présence. La parole, comme nous le savons, est beaucoup plus difficile à contrôler. Nous avons tous laissé échapper des choses que nous avons regrettées après, mais nous mettons beaucoup moins souvent de la nourriture dans notre bouche en sachant que ce n'est pas casher avant de pouvoir nous arrêter. Je crois que c'est R. Yisrael Salanter (1810-1883, grand érudit et éthicien lituanien, fondateur du mouvement Mussar), qui déplorait que les gens soient beaucoup plus scrupuleux sur ce qui leur passe dans la bouche que sur ce qui en sort.

Enfin, le Rambam passe à la démarche et aux mouvements du corps du savant. Et celui-ci est le plus difficile à contrôler. De toute évidence, une personne peut agir d'une certaine manière et parler d'une certaine manière, mais tout le monde autour saura à travers ses mouvements et ses expressions faciales qu'il ne le pense pas vraiment. Les aspects les plus subtils de notre comportement en disent souvent le plus sur qui nous sommes réellement.

D'ailleurs, la graphologie, l'étude du caractère et de la personnalité d'une personne via son écriture, repose sur la croyance que les aspects de la psyché d'une personne font surface dans de très légères variations dans la façon dont il écrit ses lettres. Je n'écris certainement pas ceci pour offrir ma propre opinion non informée sur la validité de ce domaine. Personnellement, j'ai tendance à être très sceptique quant à ce qui est considéré comme une science marginale. Pourtant, la prémisse sous-jacente – que nos mouvements les plus légers et les moins perceptibles parlent de notre vrai moi – est certainement tout à fait plausible.

Pendant que j'y suis, j'ai une anecdote révélatrice à vous offrir. Mon professeur R. Yochanan Zweig a mentionné une fois que lui et un ami ont apporté une fois une copie de la propre écriture du Rambam à un graphologue de renommée mondiale. (Il existe en fait de nombreux échantillons de l'écriture personnelle du Rambam, car le climat sec de l'Égypte a permis la conservation de nombreux documents médiévaux. Cela, combiné aux habitudes d'écriture prolifiques du Rambam et à la coutume d'Israël de ne rejeter pratiquement aucun écrit juif, sacré ou non, a nous a fourni une richesse de matériel égyptien antique, médiéval et au-delà. Voir tout article sur la geniza du Caire pour plus d'informations sur ce phénomène.)

Revenant à mon anecdote, le graphologue, qui ne savait même pas lire l'hébreu, a fait deux observations concernant le Rambam, basées sur son écriture : (1) Il souffrait de maux d'estomac (ce qui était vrai). (2) C'était une personne extraordinairement organisée. Cela aussi était certainement sur l'argent. Quiconque pourrait prendre toute la gamme de la loi juive de toutes ses sources variées et l'organiser dans un n corps organisé et lisible est pratiquement sans égal dans le monde juif (et dans le monde entier).

Genèse 27 décrit l'incident de Jacob se faisant passer pour Esaü afin de recevoir les bénédictions d'Isaac à la place de son frère indigne. Ce faisant, disent les Sages, Jacob a failli faire exploser sa couverture. Comment? En partie, en parlant gentiment à son père, contrairement à Esaü brutal et brutal. Lorsque Jacob est venu pour la première fois devant son père, il a dit « s'il vous plaît, asseyez-vous » (v. 19). En revanche, lorsque le vrai Ésaü est entré, il a dit que « mon père devrait se lever » (v. 31). (Voir Rachi au v. 22.)

Il y a beaucoup de problèmes importants ici. Le plus important est, pourquoi Jacob, déjà physiquement déguisé en Esaü, n'a-t-il pas également adopté la manière inconsidérée de son frère pour compléter le subterfuge ? Cela fournit en fait une clé importante pour vraiment comprendre l'épisode. Jacob n'essayait pas simplement de « faire semblant » de son père. Il voulait se présenter comme une personnalité composite, possédant à la fois la musculature d'Ésaü et les bonnes manières de Jacob. Et une telle personne (quelle qu'elle soit) était la vraie personne digne des bénédictions d'Isaac. Ceci est un aperçu très approximatif de certaines des réflexions importantes de R. Yochanan Zweig sur le sujet. Ce n'est pas notre sujet, mais vous pouvez en lire un article ici.

Je voudrais cependant soulever une autre question, plus en rapport avec notre discussion actuelle. Esaü, malgré tous ses défauts, s'est distingué d'une certaine manière. Il montrait un immense respect pour ses parents, en particulier pour son père qui le favorisait ainsi. Le Midrash loue Esaü pour avoir servi son père uniquement lorsqu'il est vêtu de « vêtements royaux », en signe de respect (Bereishis Rabbah 65 :16). (Ceci même si Isaac était aveugle et n'aurait pas pu connaître la différence. Ce n'était pas pour le spectacle. Esaü ressentait vraiment cela envers son père.)

Si tel est le cas, cependant, pourquoi Esaü n'a-t-il pas également parlé gentiment à son père ? Nous avons vu plus haut qu'Isaac a presque vu à travers la couverture de Jacob parce qu'il n'a pas parlé aussi grossièrement qu'Ésaü. Mais si Esaü a vraiment si bien traité son père, pourquoi ne lui a-t-il pas simplement parlé gentiment aussi ?

J'ai lu ou entendu une fois la réponse suivante, même si je ne me souviens pas au nom de qui. Le discours d'une personne est très interne à ce qu'il est réellement. Il est très difficile de parler d'une manière raffinée si ce n'est tout simplement pas qui vous êtes. De même, Esaü était facilement capable de s'habiller d'une certaine manière lorsqu'il s'occupait de son père. Mais changer sa manière de parler était beaucoup moins sous son contrôle.

C'est aussi la base des lois récentes du Rambam. Il dit d'abord au savant comment agir. Il est ensuite passé au discours du savant et enfin à l'expression la plus interne de l'être d'une personne : son langage corporel. Le plus interne, le moins visible mais le plus difficile à contrôler consciemment.

Et évidemment, le Rambam n'écrit pas pour dire au savant de devenir un acteur vraiment bien formé. Les lois antérieures concernant les actions que le sage-aspirant aurait pu simuler. Mais maintenant, nous discutons de la véritable essence de la psyché du savant. Son étude de la Torah doit pénétrer son cœur. Il doit en fait être humble et attentionné, ne pas se comporter comme plus grand que le reste d'entre nous. S'entraîner lui-même n'ira pas loin. À un moment donné, le savant doit vraiment y croire et doit en fait être un être humain merveilleux.

EID AL BANAT - FESTIVAL PITIT FI IZRAEL YO

 

CHAG HA'BANOT - EID AL BANAT

KISA EID AL BANAT LA YE?

عيد البنات

Eid Al-Banat se yon festival ki gen rapò ak Nouvèl Lalin nan mwa Tevet la. Rosh Chodesh Tevet se Rosh Chodesh Banot yo (pitit fi yo nan lang ebre). Nouvo Lalin sa a sitou asosye ak tifi jwif yo; Malgre ke tout Nouvèl Lalin yo gen yon asosyasyon jeneral ak fanm yo, jou sa a an patikilye yo konnen l kòm Chag Ha'Banot (Festival Pitit Fi Izrayèl yo), Jounen Pitit Fi yo oswa an arab: [Eid Al-Banat], an franse: Fête des Filles.

Se yon jou fèt selebre sitou pa kèk nan kominote jwif yo nan Mwayen Oryan an, espesyalman nan Maghreb (Lafrik di Nò), sou Rosh Chodesh (Lalin Nouvo) nan mwa jwif Tevet la, epi li toujou kowenside ak setyèm jou a. Chanukah jou fèt jwif yo.

Kominote jwif kote jou ferye sa a te pi byen konsève se nan Tinizi. Men, gen prèv tou ke li te selebre tou nan kominote jwif yo nan Libi, Aljeri, Kushta, Maròk, epi tou Thessaloniki (Thessalonika).


Orijin Festival Eid Al Banat

Festival Eid Al-Banat oswa Rosh Chodesh pou Banot yo, premye jou nan mwa ebre Tevet la, te konsève nan Tinizi ak sou zile Djerba, kote yo kwè ke Kohanim nan Beit Ha'Mikdash te egzile. , prèt dezyèm tanp lan. Moun ki rete jwif yo nan zile a nan Djerba konsève anpil tradisyon ansyen jis tankou sa a. Ak jan mansyone pi wo a se fèt sa a sitou selebre pa fanm nan anpil lòt kominote jwif nan tout Mwayen Oryan an epi li se lye nan evènman divès kalite atravè listwa jwif yo.

Liv Estè a di nou ke se te espesyalman nan mwa Tevèt la, ke Rèn Estè te kouwone larenn nan wayòm Pès la (Iran); Se poutèt sa, anpil nan pratik Rosh Chodesh La-Banot (Eid Al-Banat) yo sanble ak sa yo ki nan fèt jwif yo nan Pourim ki asosye ak Rèn Estè.

Rosh Chodesh (Lalin Nouvo) nan mwa Tevet la toujou kowenside ak setyèm jou Chanoukah la, ki dapre divès tradisyon mirak Chanoukah la byen lye ak youn oswa plizyè fanm. Chanoukah se espesyalman lye ak istwa yo ewoyik nan Yehudit ak Chana (Grace), pitit fi Mattityahu Ben Yochanan, Kohen Gadol la.

Anplis de sa, gen moun ki gen rapò fèt sa a ak istwa pitit fi Yiftaj la, ak ekspilsyon nan fanm etranje yo pandan tan Esdras la sekretè a; e gen moun ki atribiye fèt la ak istwa lòt fanm ewoyik, tankou: Debora, Yael, Zera, pitit fi Asè, Chana nan sèt timoun yo ak Brurya, madanm Rabi Meir.

JEWI JWIF LA NAN PÈS


Rambam, gwo Moyiz Ben Maimon nan te fè kòmantè sou Megillat Esther, sou sa Rèn Estè te di: "Mwen menm ak sèvant mwen yo, nou pral obsève menm jèn sa a" - Jenn fi m yo? Wi, te gen jenn fi jwif larenn lan te libere; ki, san dout, te anba gwo jouk larenn lan devan Estè. Yo kwè ke mechan Vashti a, pitit fi mechan yo, te fòse yo travay sou Shabbat. Jan Estè te di: "Mwen menm ak yo pral fè jèn tout pèp Izrayèl la."

Yon lòt resanblans ke Eid Al-Banat genyen ak fèt Purim se tradisyon voye bonbon soti nan yon kay ale nan yon lòt, menm jan ak Mishloach Manot la. Gen kèk lòt tradisyon yo bwè diven, ak yon lòt ap bay timoun ki nan bezwen, menm jan ak Matanot La'Evyoním.

RELASYON AK CHANOUKAH AK YEHUDIT, EROIN LA


Paske jou fèt la tonbe sou setyèm jou Chanukah la; Se poutèt sa, se moman presi pou sonje koneksyon ak eroin Yehudit ak Chana Bat Mattityahu (pitit fi Yochanan, Kohen Gadol nan dezyèm tanp Jerizalèm).

Byenke Sefer Yehudit, liv Judith la, pa te kanonize nan Tanakh la (Nan Bib la), liv sa a, ki gen vèsyon ebre yo te pèdi a, rakonte istwa a nan eroin Yehudit ki te touye Holofernes, jeneral lame grèk la. Tradisyon Tunizi a di ke istwa sa a te rive egzakteman sou Rosh Hodesh (lalin nouvèl la) nan mwa Tevet; Se poutèt sa, nan Peyi Tinizi, enpòtans li make ak selebrasyon Eid Al-Banat la.

Dapre Mizheyna Cohen nan Zile Djerba, Eid Al-Banat "se pou nou pa janm bliye Yehudit, ki moun ki ak fòs ewoyik li te sove lavil Jerizalèm ak Peyi Wa jwif la." Se poutèt sa, gen yon tradisyon tou konsome pwodwi letye pandan fèt yo Eid Al-Banat.

Istwa jeneral la se jan sa a: (pran nan aish.com) "Yon kòmandan grèk, yo te rele Holofernes, te mennen lame li a pou l kraze yon revòlt ki te kòmanse nan Jerizalèm. Fòs grèk yo te moute kan alantou miray lavil la epi yo te kòmanse yon syèj pwolonje. Byenke Jerizalèm te yon vil ki te byen fò, yon lame siperyè te sènen l’ san pran souf la te kòmanse fè yon gwo kantite moun ki rete nan vil la.Yon vèv ki te rele Yehudith te kite vil la epi li te mande yon odyans ak kòmandan an, li menm tou li te pote fwomaj ak diven. Plan li te sedui l epi touye l.Plan li te reyisi.

Kòmandan an te òganize yon resepsyon nan onè Yehudith e li te sou. Menm jou lannwit sa a, li menm ak Yehudith te pran retrèt nan tant prive li a, kote li byento tonbe nan yon gwo dòmi. Pandan l' t'ap dòmi, Judit wete nepe a nan men l', li koupe tèt li. Lè sa a, Yewodit kite kan an, li pran tèt kòmandan an ak do l' lavil Jerizalèm, kote tèt li te pann sou miray lavil la pou tout moun wè. Jwif yo te enspire anpil nan ewoyis nana Yehudith, e fòs grèk yo te retire. Se te yon pwen enpòtan nan revòlt jwif yo kont moun Lagrès yo. "

Finalman Lalin Nouvèl (Rosh Chodesh) Tevet komemore anivèsè lanmò Abraham Avinu, premye jwif la, nimewo 1 papa nasyon jwif la. Se pou memwa li yon gwo benediksyon!

LAPRIYÈ MÈSI POU HANOUKA AK EID AL-BANAT


Ribono Shel Olam, Kol Yachol; O Etènèl, Bondye nou an, ak Bondye Patriyach nou yo ak Matriyach memwa beni nou yo, se pou nou gen Merite pou nou wè mirak, siy ak gwo mèvèy sa yo fèt, tankou sa ou te fè pou zansèt nou yo. Nou di ou mèsi, O Etènèl, Bondye nou an pou

mirak yo, redanmsyon an, mèvèy yo, zak delivrans yo ak pou bèl aksyon ou te fè pou zansèt nou yo nan tan sa yo, nan tan Chanukah la.

Se pou dènye Geula (Redanmsyon an) reyalize jodi a nan jou nou yo ak nan lavi nou, menm jan ou te akonpli li nan epòk Mattityahu, pitit gason Yochanan, Cohen Gadol (Gran prèt la), Chasmonean ak pitit yo! Se pou redanmsyon an fèt avèk nou tou, menm jan ou te fè ak Makabe yo, lè move gouvènman Elen an te leve kont pèp Ou a, pèp Izrayèl la, pou fè yo bliye Tora Ou a, pou fè yo vyole dekrè volonte Ou yo!

Men, ou menm, nan mizèrikòd ou a, ou te sipòte yo nan moman tray yo.

Tanpri, delivre nou jodi a, jan ou te libere yo nan batay yo, jan ou te defann yo ak dwa yo, epi tire revanj tèt ou menm jan ou te vanje tèt ou pou domaj yo te fè yo!

Se pou pawòl sa yo reyalize nan nou: “Ou lage moun ki pisan yo nan men moun ki fèb yo, anpil moun yo nan men kèk moun, moun ki pa bon yo nan men moun ki pi, mechan yo nan men Tzadikim yo (moun ki jis yo). ) ak pechè rampante nan men moun ki angaje yo nan etid Tora ou a!

Sante non ou, fè tèt ou yon gwo non ki gen renome tankou ou te fè pou tèt ou nan tan lontan an, magnifye gwo non ou, epi montre lemonn antye ki jan distenge ak sen non ou se, fè avèk nou jan ou te pote liberasyon kolosal sa a ak redanmsyon pou pèp Izrayèl ou a, li te ye e ki merite pou remake jiska jodi a.

Se pou pitit ou yo antre nan Tanp ou te chwazi a kounye a, pirifye kote Tanp ou a ye, pirifye Tanp ou a, pou gwo Menorah lò a ka limen nan lakou sakre ou, epi jou Chanukah pou Twazyèm Tanp lan kòmanse di mèsi pou ou menm ak fè lwanj non ou ki sen ak gwo.